Le dossier de Yuna AHOUANTO

"Le combat d'une mère"

 

   

UNE AFFAIRE DEVENUE D'ETAT, PROCUREUR, JUGES, MEMBRES DE L'ASE, UN DIRECTEUR DE CENTRE DE L'ENFANCE, AVOCATS, IMPLIQUES DANS L'AFFAIRE DE VIOLENCES ET DE VIOL COMMIS SUR L' ENFANT

   

 

Résumé des affaires judiciaires de Sandrine AHOUANTO

à travers le juridique

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Résumé des affaires judiciaires de Sandrine AHOUANTO

à travers la citation directe

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2021 ! xx

2022 !

2023!

2024 !! click x

Le 9 mai, c'est neuf pour sa maman, tous les ans, et cette année 2023, c'est 9 ans, une seule fois dans sa vie..

Les Anniv, en famille !! rien d'autre..

Les kidnappeurs devront en répondre, bientôt..

 

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Mais déjà, pour comprendre l'affaire du placement de Yuna, c'est connaître les liens qui unissent le milieu de la justice avec l'Aide Sociale à l'Enfance. Sandrine AHOUANTO et sa fille Yuna sont victimes, des agissements malintentionnés d'un ex-compagnon, mais aussi du sytème judiciaire; violations de droit du Juge des enfants et abus de pouvoir de certains agents de l'ASE.

 

xxxx "La vie d'un parent protecteur, face à l'ineptie judiciaire"

 

 

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Sandrine AHOUANTO cherchait une solution afin que la justice entende ses plaintes, relatives aux agressions physiques et sexuelles, sur sa fille de 4 ans. Le personnel de l'ASE et quatre fonctionnaires de police, rentraient chez elle, le 18 juillet 2018. Ils lui arrachaient violemment, Yuna des bras. Sandrine était menottée devant ses enfants, et emportée jusqu'à l'ambulance qui l'attendait; à proximité deux hommes en tenue d'Uniforme de couleur beige. Cette intervention musclée faisait suite, aux écrits adressés au Ministre de l'intérieur (voir les courriers en réponse) et une plainte contre la juge des enfants. Un internement sans consentement l'attendait aussi. Au bout de cinq jours, un médecin levait sa mesure d'internement. Puis un autre, décidait de la prolonger, et il l'obligeait sous la contrainte, à ingérer un traitement puissant à hauts dosages de neuroleptique. Sandrine AHOUANTO a été relâchée, le 20 Août 2018. Le 31 Août 2018, l'expert-psychiatre Sylvain LEVALLOIS constatait "l'absence de troubles mentaux, et l'absence de délire de persécution", chez Sandrine AHOUANTO. Malgré cela, l'ASE et les juges des enfants, persistaient à ne pas vérifier les dires de la mère de Yuna. Ils s'acharnaient aussi à diffamer Sandrine, afin de justifier le placement de sa fille, imposant deux visites médiatisées par mois, d'une heure chacune. Le placement de Yuna et l'internement de Sandrine, ont été des moyens coercitifs et punitifs, afin de les faire taire.
 

Le plan des responsables de l'ASE avait presque échoué, puisque les traumatismes des violences subies, l'enlèvement de sa fille, et les neuroleptiques auraient dû perturber plus que cela, Sandrine AHOUANTO. Malgré cela, la situation allait s'empirer, puisque devant toutes ces incohérences, Sandrine continuaient d'alerter comme elle le pouvait. Elle entendait les plaintes de sa fille mais aussi constatait des lésions graves qui ne lui laissaient plus aucun doute, sur les sévices sexuels commis sur la mineure. Les rapports du Directeur du centre de l'enfance, mais aussi du "Service Gardien !" démontrent les moyens utilisés afin d'influencer les juges des Enfants. Le 17 décembre 2020, sans contradictoire, la juge des enfants décidait d'une rupture totale du lien entre la petite Yuna, de moins de sept ans, et sa mère; les droits de visite et de contacts téléphoniques étaient supprimés; ces décisions, n'ont pas été prises en accord avec le droit français, européen et international. Le 1er juillet 2021, après avoir plaidé devant la chambre des Mineurs de la Cour d'appel de RIOM, Sandrine AHOUANTO lira que la décision de la juge des enfants était confirmée, alors que rien ne démontrait sa dangerosité envers sa fille; il n'y avait plus aucun contact entre elles depuis déjà 7 mois. Aussi, son contrôle judiciaire est un moyen de pression et de restriction de liberté individuelle, qui l'a menace en permanence d'une détention provisoire. Pourtant sa mise en examen, truffée de violations de droits et de vices de procédures, à partir d'infractions non caractérisées, ne devrait pas existée.

 

PRENDRE CONNAISSANCE DE L'AFFAIRE, SUR LE FOND, MAIS AUSSI SUR LE DROIT : LES CONCLUSIONS REMISES EN COURS D'APPEL DE RIOM DU 18 MAI 2021

LES CONCLUSIONS (Click !)

 

L'aide sociale à l'enfance (ASE), association loi de 1901, la MECS L'Arc en Ciel, Association non reconnue d'utilité publique loi de 1901 : devant un tribunal, ces associations d'aide à l'enfance sont parties civiles, et ne peuvent de ce fait, décider d'eux mêmes, en matière de droit de visite, d'aménagement des horaires etc.. Sandrine AHOUANTO a l'autorité parentale, et s'est vu à plusieurs reprises non convoquée en audience. Aussi, certaines ordonnances ou jugements, n'ont pas été notifiés, comme l'exige la loi. La mère de Yuna n'a donc pas pu défendre ses intérêts et ceux de sa fille, de manière équitable, devant un Tribunal. Seuls, ont été entendus les responsables de l'Aide Sociale à l'Enfance, par la juge des enfants. Deux raisons à cela : - Des subventions importantes par enfant placé, allouées par l'Etat au Conseil départemental, et centres de l'enfance, motivent probablement les responsables de l'aide à l'enfance.

- Une dissimulation de preuves concernant les agressions sexuelles sur Yuna.

 

xxxxxxx LE DANGER N'EST PAS SANDRINE AHOUANTO ! MAIS BIEN LES INDIVIDUS QUI COMMETTENT UNE ENTRAVE A L'EXERCICE DE LA JUSTICE !!  

 

x QUAND CERTAINS MEDIAS SONT AU SERVICE DE LA POLITIQUE, POUR PIEGER LES VICTIMES  

Le Dimanche 23 mai 2021, le Journal "Le Parisien" publiait un article au sujet de l'enlèvement de Mia, et de l'enquête de la JIRS (juridiction interrégionale spécialisée) de Nancy. Cet article a été rediffusé par d'autres journaux, à partir du 25 mai. L' article du Parisien (click)

Il est assez curieux que cette enquête ait été livrée aux médias, avant même que les investigations soient terminées, avant même que la maman de Yuna ait été auditionnée, comme il est dit dans cet article. Il est encore plus étrange, que des journalistes du Parisien, puissent altérer la vérité, de manière agressive envers les victimes, que sont les mères. Il est pourtant évident que tout lecteur du journal, peut comprendre la souffrance d'un parent, écarté totalement de son enfant. Au lieu de cela, ces journalistes imprudents, comme ceux des autres journaux d'ailleurs, ont répété les dires. La rumeur tente de destabiliser la mère de Yuna, puisqu'elle se bat actuellement en justice, afin que la vérité puisse apparaître enfin, au grand jour. Les journalistes du Parisien ont livré suffisament d'éléments, pour que l'on reconnaisse l'histoire de Sandrine et de sa fille Yuna, puisque déjà médiatisée. Les déclarations erronées dans cet article portent préjudices de manière sérieuse, à l'intègrité de cette mère, qui a tout tenté pour que l'on vérifie à l'aide d'un spécialiste, les agressions qu'a subi sa fille.

Cet article a donc été brodé par des erreurs qui n'auraient pas pu être livrées par des enquêteurs, puisqu'en matière juridique, les journalistes ont écrits en parfaite méconnaissance du dossier, comme on le lit; le nombre des plaintes et les infractions dénoncées, étant tout autre. Quant au profil psychologique ou psychiatrique, qu'ils collent dans le dos de Sandrine AHOUANTO, prouvent leur manque d'expérience ou de professionnalisme; leur manque d'impartialité dénote avec brio, le sens politique qu'a pris cette affaire. Apparemment, sauver les enfants des griffes d'individus cupides et parfois criminels, n'est plus du ressort de quiconque. Une vraie manne, cette industrie de l'enfance, qui déshumanise même, ceux qui informaient le public; ceux qui dénonçaient, alertaient. Probablement devenus complices..

 

 

L'EMPRISE DE L'ASE, SUITE AU DESENGAGEMENT DU PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE  
Suite à sa plainte du 5 septembre 2015, pour les violences commises sur sa fille, le Procureur de Clermont-Ferrand décidait de transmettre le dossier directement au juge des enfants. A savoir, avant cela, par principe du contradictoire, Sandrine aurait dû être informée, afin qu'elle puisse donner son avis. (Arrêt du 14 février 2006, cc). L'engrenage de la protection de l'enfance, emportait Sandrine AHOUANTO, dans une lutte incessante, afin de protéger sa fille, qui était âgée de bientôt 3 ans.

 

  La juge des enfants, signataire de ses actes, mais sous influence : Aline OLIE    

 

 
 
 

Aline OLIE a été Juge des enfants de 2000 à 2006, en cours d'appel de RIOM (63). Puis à partir de 2006, elle était nommée Juge d'Instruction, au Tribunal Judiciaire de Clermont-Ferrand (63) jusqu'au 23 mars 2019. Le 25 mars, elle prenait ses fonctions comme conseillère au cabinet de secrétaire d'Etat auprès de la ministre des solidarités et de la santé. Aussi vice-présidente chargée des fonctions de juge des enfants au TJ de Clermont-Ferrand. Le 19 juillet 2019, elle devient Première substitute à l'administration centrale du Ministère de la Justice. Le 14 Août 2020, Elle est conseillère justice et en charge des relations internationales, au cabinet du secrétaire d'Etat auprès du Ministre des Solidarités et de la santé, chargé de l'enfance et des familles. Le 16 avril 2021, Premières vice-procureures de la République, au TJ de Paris; et toujours conseillère justice, au cabinet du secrétaire d'Etat(..... chargé de l'enfance et des familles). Voir Journal Officiel Cessation de fonction le 18 mai 2021.

Par Arrêté du 10 mai 2021, il est mis fin, à compter du 1er juin 2021, aux fonctions de Mme Olié, conseillère justice et en charge des relations internationales, au cabinet du secrétaire d'Etat auprès du ministre des solidarités et de la santé, chargé de l'enfance et des familles.

 
 

Sandrine AHOUANTO s'était séparée de son ami, en Août 2015, et avoir déposé plainte contre lui, pour des violences contre elle, mais aussi sur son enfant. Elle avait constaté aussi, auparavant, qu'à son insu, il s'était inscrit en Mairie, afin de reconnaître sa paternité. Afin de se défendre au mieux, elle se faisait représenter par le Cabinet CANIS, avocats à la Cour de Clermont- Ferrand. Au printemps 2016, Elle apprenait par l'association ARAMIS, que des droits de visite étaient accordés à celui qui prétendait être le père. Des jugements avaient eu lieu, en ce début d'année, sans qu'elle en ait eu connaissance. Sandrine AHOUANTO était convoquée le 12 décembre 2016, à l'audience devant la Juge des enfants, Aline Olié. Ses deux enfants, Yuna et Alexandre de 18 ans étaient présents. Elle reçu dans le mois, par courrier simple, un jugement en assistance éducative; elle prenait connaissance d'une date d'ordonnance du 08 février 2016, et d'un jugement du 28 avril 2016. Aucune convocation, ni aucune notification faite à Sandrine AHOUANTO, n'ont permis à celle-ci d'être informée, ni de pouvoir défendre, ses intérêts ou ceux de sa fille. Dans le premier paragraphe, reprenant son ordonnance, elle écrivait qu'elle faisait référence à la situation initiale ayant conduit le Procureur de la République, Eric MAILLAUD, à saisir le juge des enfants de la situation d'Alexandre et de Yuna; une mesure judiciaire d'investigation éducative était ordonnée. Le jugement du 28 avril 2016, fixait un droit de visite à l'ex-compagnon de Sandrine, deux heures, un samedi sur deux sans possibilité de sortie. Madame Olié Aline reconnaît que "Sandrine AHOUANTO est particulièrement fragilisée par le fait qu'elle avait été par le passé, victime de violences conjugales et qu'elle reproche au père de Yuna des violences à son égard, à l'égard de ses enfants à l'origine de la séparation". Elle dit aussi : "Si l'existence de comportements violents de KS ne résulte pas uniquement des témoignages de Madame AHOUANTO mais ont pu être relevé dans le cadre de la mesure d'investigation, aucune enquête pénale n'a, à ce jour, abouti".

La juge des enfants relève dans son jugement, les vérifications faites par la mesure judiciaire d'investigation éducative et son constat des violences commises par le compagnon. La Juge reconnaît l'absence de suites pénales. Mais il lui était plus facile de penser que Sandrine AHOUANTO tentait d'écarter totalement KS de son rôle de père, suite aux violences physiques et sexuelles sur sa fille. Elle ordonnait donc des droits de visite, visites étroitement surveillées. Sandrine AHOUANTO, depuis 2014, via des avocats non réactifs, dénonce la fausse paternité de cet homme, qui commençait d'abuser de sa fille, âgée de moins de deux ans. En novembre 2020, alors que Maître GNINAFON préparait une requête aux fins de contestation de paternatité, déclarait à Sandrine AHOUANTO en février 2021, que le Procureur de la République refusait d'y donner suite.

 
  Aline Olié, a donc pris des décisions, comme le Procureur de la République, sans le moindre contradictoire avec Sandrine AHOUANTO, lui empêchant de défendre ses intérêts ou ceux de sa fille, à savoir de vouloir la protéger de sévices sexuels ou violences, lors de certains droits de visite de KS. Elle pourra se rendre compte par la suite, que des droits de visite étaient décidés à l'initiative des associations comme ARAMIS, sans prescription de la Juge des enfants. Elle finira par se rendre compte, suite aux plaintes de sa fille de 4 ans, que ces sévices sexuels étaient devenus une histoire de viol d'une mineure, alors âgée seulement de 4 ans. La juge des enfants dit aussi dans son jugement, en parlant de KS, "Il ne nie pas avoir besoin d'un accompagnement psychologique et éducatif". Dans son jugement du 11 janvier 2021, Mélanie JALICOT, juge des enfants à Clermont-Ferrand, écrivait "concernant Monsieur SAMSON, il se trouve également dans une situation personnellement complexe, étant hospitalisé en psychiatrie depuis fin novembre 2020".  
  L'obstination désastreuse des juges des enfants, et de l'aide à l'enfance, à vouloir soigner KS, de manière thérapeutique, par le self-contrôle, est un échec total; une expérience, dont la petite fille se souviendra toute sa vie. Echec pour l'ASE et le directeur du centre de l'enfance, qui par tous moyens, cachent la vérité et les preuves. Un échec qui met beaucoup de monde dans l'embarras. Tous, soumis à la manipulation de ce KS, mais aussi à sa famille, mal placée pour en parler. Sandrine AHOUANTO a mis dans l'embarras les autorités gouvernementales, en juin 2018, ce qui lui a valu, le placement de sa fille, et son internement sans consentement. On lui a fait comprendre de se taire, et maintenant, on lui donne juste le droit de se souvenir de sa fille, maintenant âgée de 7 ans.  
 

Mise en examen le 20 janvier 2021, pour des déclarations mensongères et des diffamations à l'encontre du centre de l'enfance, MECS l'Arc en Ciel, Sandrine AHOUANTO doit subir aussi un contrôle judiciaire, décidé par la Juge d'instruction de Clermont-Ferrand. Pas très loin de celle-ci, dans l'ombre, se trouve Jean-Christophe RIBOULET, Juge des libertés et de la Détention. La liberté de Sandrine AHOUANTO ne tient qu'à un fil, puisque, comme toute personne mise sous contrôle judiciaire, elle peut être placée en détention par le JLD.

Jean-Christophe RIBOULET, Magistrat au Tribunal Judiciaire de Clermont-Ferrand, est tout simplement, le père de la belle-mère de KS. Monsieur le Procureur de la République, Eric MAILLAUD, est évidemment son collègue de travail, il n'a jamais donné suite aux plaintes de Sandrine AHOUANTO contre KS, de septembre 2015 à novembre 2020.

 
 
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L'AUDIENCE CORRECTIONNELLE (Click !) DU 14 SEPTEMBRE 2021

La triple peine !