FAMILLE AHOUANTO CONTRE ARAMIS

quand les mensonges se retournent contre la Justice de Clermont-Ferrand

 
 

RELAXE POUR SANDRINE ET FRANCOISE AHOUANTO : La présidente maintenait l'audience correctionnelle, en violation du principe de la contradiction. En parfaite connaissance des incohérences de la procédure, et la volonté de voir condamner les accusées, les vérités ont eu raison des propos mensongers du personnel d'ARAMIS.

 
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Le mercredi 09 décembre 2020, alors que Sandrine AHOUANTO, se trouvait au centre ARAMIS, avec sa fille Yuna. Au cours de sa visite médiatisée, elle constatait des bleus sur les jambes de Yuna. Celle-ci lui déclarait qu'elle avait mal à sa minette, qu'elle voulait retourner chez elle, mais que les éducatrices l'en empêchait, en lui disant non. Ce jour là, Sandrine prit la décision, d'ausculter sa fille dans les toilettes; elle découvrit ce qu'elle soupçonnait depuis longtemps; d'ailleurs, le Dr RAYNALD constatait déjà, le 16 mai 2018, que l'hymen de la petite fille de 4 ans, était perforé. Ce jour là, ses suspicions devenaient des certitudes.
 
   
 
Le Samedi 12 décembre 2020, anxieuse, accompagnée de sa mère Françoise AHOUANTO, Sandrine décidait d'intervenir auprès du personnel d'ARAMIS, afin d'alerter, et demander de faire transporter sa fille chez un médecin spécialiste. Par précaution, la scène a été filmée, à l'aide de son téléphone portable.
 
   
 
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Des plaintes réciproques ont déposées entre Sandrine AHOUANTO et la psychologue de ARAMIS, suite à cette entrevue devant le centre, qui a duré 1 minute 43 secondes. Des auditions ont été effectuées auprès des deux parties et des témoins au Commissariat de Police de Clermont-Ferrand. A l'issue, Sandrine et sa mère Françoise AHOUANTO ont été convoquées, en audience correctionnelle du 14 septembre 2021, pour les faits de violences volontaires en réunion. Des conclusions ont été rédigées et envoyées à la partie civile, le Procureur de la république et le Président de l'audience, quelques jours avant; il est décrit le parfait dysfonctionnement de l'enquête, de la procédure, mais aussi les propos mensongers de la part du personnel de ARAMIS. L'audience, elle, ne relevait pas non plus, le niveau de perfection..
 
 
LES CONCLUSIONS pour la défense de Sandrine et Françoise AHOUANTO
 
 
L'AUDIENCE
 
 
Sandrine et Françoise AHOUANTO étaient convoquées en audience, ce mardi 14 septembre, à 13h45. A notre arrivée, nous avons eu l'agréable surprise, de rencontrer un peu de soutien. Aurélie Monet, René Forney et Youcef (journaliste indépendant). L'entrée, au portillon, un agent de sécurité, tentait de nous empêcher d'accompagner Sandrine et Françoise, prétextant que la salle était remplie par les justiciables, et que la crise sanitaire obligeait à réduire de moitié le nombre de places. Lui répondant, que c'était une audience publique, que nos droits étaient bafoués. Nos voix ont eu gain de cause, puisque nous avons pu entourer Sandrine et Françoise, dans la salle d'audience. Nous avons dû attendre jusqu'à 18h30, pour voir celles-ci à la barre. Ma demande d'assistance a été refusée par la présidente.
 
 
La violation de nos droits !
 
 

Absence du rôle de la séance publique en chambre correctionnelle du Tribunal Judiciaire de Clermont-Ferrand du 14/09/2021 à 13h45.

Violation du principe de la contradiction ou du contradictoire, en cours d'audience, puisque le demandeur était absent et sans représentation. Il s'avèrait en fait, que l'action publique avait été déclenchée par le Parquet de Clermont-Ferrand, lui-même.

 
 
La présidente de l'audience réitérait les incriminations à l'encontre de Sandrine et Françoise AHOUANTO. Or, la juge comme le Procureur de la République et le demandeur avaient reçues les conclusions le 10 septembre 2021. Les prévenues, sans débat contradictoire, maintenaient leur position, sur le fait de n'avoir commis aucune violence sur Mme ARDAILLON, psychologue de ARAMIS. La Substitut du Procureur présente, ne se suffisait pas seulement, à mettre la pression sur la famille AHOUANTO, mais s'en prenait aussi à plusieurs reprises, à Franck BLANCHARD, pourtant assis dans le public; l'accusant d'enregistrer l'audience avec son téléphone portable, alors que la Présidente constatait qu'il était éteint, puis donnant tort au "Policier à la retraite, dit Juriste", sur le contradictoire, puisque le Parquet avait décidé de poursuivre de lui-même, les deux prévenues, pour les faits de violences. Elle réclamait 800 euros d'amende pour chacune.
 
   
 
Eric MAILLAUD, Procureur de la République, près le Tribunal Judiciaire de Clermont Ferrand, entouré sur sa gauche, par Madame Florence LE ROUX GHRISTI, Vice-Procureur, et sur sa droite, par son Substitut qui a représenté le Ministère Public, lors de l'audience correctionnelle du 14 septembre 2021.
 
 
Une heure et demie plus tard, après délibération, le verdict était donné par la Présidente de l'audience, qui avait décidé la RELAXE pour Sandrine et Françoise AHOUANTO. Elle déclarait avoir visionné la vidéo, et qu'effectivement, aucune violence n'était apparue.
 
 
On peut percevoir sans difficulté, qu'à travers cette affaire, et faisant suite à son histoire, Sandrine AHOUANTO subit un acharnement judiciaire, sans relâche, et sans finesse de la part non seulement de certains fonctionnaires de Police, mais aussi de certains Magistrats de Clermont-Ferrand. Une obstination persistante à vouloir l'empêcher de faire vérifier ce qu'elle dénonce depuis si longtemps. Il faut savoir que Sandrine AHOUANTO a déposé plainte avec constitution de partie civile auprès du Doyen des Juges d'instruction, le 8 mars 2021, pour viol sur sa fille. Elle attend encore, en septembre 2021, une ouverture d'information pour ce crime; alors que sa mise en examen aurait dû, comme pour ce jugement en audience correctionnelle, l'amener vers une condamnation, la procédure d'instruction ne s'est pas orientée, comme prévu. Bien au contraire, les écrits adressés aux juges d'instructions, ont apporté un sens, à cette affaire, et non plus la psychiatrisation tant attendue, à l'encontre de Sandrine AHOUANTO. Cette condamnation a échoué; un échec pour les adversaires de Sandrine et sa famille. Une victoire pour celle-ci, car à travers ces manipulations et l'occultation des preuves du crime, apparaissent au grand jour, ceux qui détruisent sciemment, la vie d'une petite fille, sa mère, et les grands-parents, afin de les faire taire. Mais nous sommes là..
 
 
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