18 JUILLET 2018 |
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Des violations policières à domicile, de l'enlèvement violent d'une enfant de 4 ans, de l'internement par la force, d'un isolement d'une semaine, de la violation des droits d'où une détention arbitraire de plus de 7 jours, et de l'administration de substances nuisibles pendant plus d'un mois, et j'en passe. 14 infractions au code pénal, une infraction au code la santé publique, punie chacune d'une peine d'emprisonnement. Cherchez l'erreur ! Pour couronner le tout, 8 violations des droits européens. Cherchez l'erreur.. Ce n'est pas un dysfonctionnement, mais des instructions franches, une collusion contre une mère qui tente de protéger sa fille d'agressions sexuelles et en cette année 2018, de VIOL ! Que cette lecture vous apporte un peu de droit afin de vous défendre au mieux contre des fonctionnaires qui ne le respectent pas. Mais surtout, que l'histoire de Sandrine, fasse prendre conscience aux citoyens, de la nécessité maintenant de résister contre ces abus de pouvoir.. |
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En ce mois de mai 2023, Sandrine n'a toujours pas retrouvé sa fille Yuna, qui vient d'avoir 9 ans. Bientôt 5 ans de placement en centre de l'enfance à St Rémy sur Durolle (63), bientôt 2 ans et demi de suspension totale des droits avec sa fille, c'est à dire, privation complète de la moindre communication avec sa fille. Privation complète, pour Yuna, de tout lien affectif avec sa mère. Aussi, bientôt 2 ans et demi de mise en examen, c'est pourtant une coquille vide. Deux ans de contrôle judiciaire, non respecté, car la fraude des Magistrats oblige. Son contrôle judiciaire a été modifié, avec suppression de ses interdictions ou obligations non respectées, sauf de ne pas approcher la commune de St Rémy sur Durolle, pour Sandrine. Et puis, l'appel de la décision de rejet de demande de complément d'expertise sur Yuna : Forte suspicion de fausse expertise.. en attente donc dans le cadre de la procédure d'instruction pour viol sur mineur, de l'audience à la chambre de l'instruction, cour d'appel de Riom (63). Voilà mes amis, pour ceux qui veulent l'être, nous approchons de cette délivrance, pour laquelle nous nous battons. Prenez confiance en vous même, décidez de vous battre avec le droit, qui nous est caché. Et à tous mes collègues Policiers ou Gendarmes, de ne pas suivre des instructions, qui violent tous nos droits fondamentaux, et non plus, celles de ces agents de soit disant Aide Sociale à l'Enfance; l'ASE à qui l'on a donné une mission de service publique, pour piquer nos enfants, sans le moindre respect pour les parents. N'oubliez pas, que vous êtes susceptibles de commettre des délits graves, en arrachant les enfants comme certains le font parfois. Il faut impérativement un titre exécutoire en main, avec la formule exécutoire, prévue suivant les articles L.111-2 et L.111-3 du code des procédures civiles d'exécution. A moins d'avoir une ordonnance en référé d'un Magistrat, ou la minute, qui auront éventuellement pour finalité, l'exécution forcée. Bien à vous. Franck Blanchard, Major de police, mais surtout Lanceur d'Alerte.. |
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