L'ETE CHAUD DE 2018

LA DESCENTE AUX ENFERS

 

 
Si fiers de les mettre aux fers, ils ont résolu cette belle affaire.

 

 

Pourquoi tu fouilles son lit ??? xxxxxxxxxxxxxxxxx Regarde les nibards, ma femme a les mêmes ! xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

 

Rien à dire.. Tiens je te balance la p'tite, fais attention à la couche ! Rien à dire..

On nous dira rien, deux contre deux, c'est équitable. Ouais.. la petite avait 4 ans. Tu dis rien pour l'arcade sourcilière, c'est la faute du meuble. xxx xxxx

hé chef !!, c'est le pied, ça rappelle l'interpellation de Wissam ! C'est cool ça m'excite..

Ta gueule, c'est une femme !!

Le Préfet nous regarde, serre les menottes !

 

Bon plus sérieux, je vous fais un résumé de ce début d'affaire de viol sur mineur. Certains ne l'ont pas prise au sérieux, d'autres l'ont trop pris au sérieux. Je vous promets, cette histoire est passionnante, tant les fonctionnaires sont passionnés. Le Préfet lui-même et son adjoint ont eu beaucoup de plaisir. Les médecins attendaient ce moment d'expérimentation sur son corps défendant. Le Procureur leur avait dit qu'il lui fallait des hommes à poigne ! Pour les Magistrates, enfin une petite revanche, la maman a ce petit charme qu'elles jalousent probablement. Et pour le service gardien en personne ?! Cette petite poupée de 4 ans, un bon sujet pour remplir les poches.. de ces agents payés au rabais..
  Grouille !! Le résumé ! Ok, ça vient ?..  
Allez, lâche toi !! Ah ouais, juste ça encore, stp.. Fais pas chier, je veux savoaaar !!!!
Quand la polifice judifière de l'être, cherche du grain à moudre, il ne faut pas s'étonner que les dindons laissent leur place aux jeunes coqs, tout comme les poules mouillées, devraient se mettre à l'abri..
J'ai rien compris.. Allez j'y vais, je lâche le morceau !! C'est bon, on y va..

 

         
 

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J'ai tout à dire sur le cas de Sandrine AHOUANTO..    
   

A 15h00, ce mercredi 18 juillet 2018, Sandrine AHOUANTO était avec sa fille Yuna âgée de 4 ans, dans le canapé, et son fils Alexandre de 19 ans. Celui-ci a ouvert après avoir entendu frapper à la porte. Quatre fonctionnaires de la police Nationale de Clermont-Ferrand, suivis de deux agents des services sociaux, pénètrèrent dans l'appartement de Sandrine, située au 4ème étage . Celui qui commandait, est toujours son voisin d'immeuble. Il ne la ménageait pas, aidé par un collègue, il lui arrachait la petite de 4 ans, de ses bras; pas de bol, le chemisier de Sandrine s'est déchirée et se retrouvait ainsi les seins nus . Dans l'action, l'arcade sourcilière de Yuna percutait le coin du meuble. Cette scène s'est déroulée devant son fils. Aussitôt, l'assistante sociale a pris la petite dans ses bras, qui était en culotte, et a disparu dans l'escalier de l'immeuble...Sandrine était plaquée sur le ventre, dans son canapé. L'un des policiers avait son genou cloué sur les dorsales, et son voisin Antonio, se faisait plaisir de la menotter dans le dos.

Les deux autres policiers, fouillaient les chambres intimes de Sandrine, comme sous commandement du service de l'ASE, "Service Gardien", présent avec eux. Habitué de ces intrusions ou violations, il a renouvelé ses abus, bien plus tard, le 2 mars 2023, en enlevant le bébé de 5 jours , de Nadège RYMER; ceci dans la chambre de l'hopital. Ils ont ouvert le lit de Sandrine, fouillé les tiroirs de sa commode, puis ils ont continué dans la chambre de Yuna. Ils ont emmené des vêtements, peluches et le carnet de santé.

Toujours menottée dans le dos, Sandrine était sortie de son appartement, mais il lui ont mis un vêtement sur les épaules, afin de cacher ses seins. Ils ont bien refermé à clé, son appartement. Puis ensemble, ils ont descendu les quatres étages.

A la sortie de l'immeuble, le public était là, une dizaine de personnes, les voisins, observaient l'intervention des policiers. Sandrine constataient la présence du Préfet et de son adjoint, Directeur de cabinet ou sous-préfet, tous les deux en tenue d'uniforme, à proximité d'un fourgon ambulance. On lui a enlevé les menottes, avant de s'engouffrer à l'arrière, suivi par le sous-préfet, mais aussitôt contentionnée à l'horizontale.

Aucun titre exécutoire n'a été présenté à Sandrine, lors de l'intrusion dans l'appartement; ni aucun autre acte d'ailleurs. A l'issue de son internement, on lui avait glissée dans sa boîte aux lettres, une copie du jugement du 18 juillet 2018; donc non notifié, et sans date d'envoi. Pas de signature du Procureur, ni de formule exécutoire; rien...

Elle est donc restée internée, sans consentement, plus d'un mois. La plainte qui fait suite, décrit dans le détail, le déroulement de cet internement. Sandrine a été isolée pendant une semaine, et elle a subi des administrations forcées de médicaments, neuroleptiques etc (5 fois par 24h), pendant plus d'un mois.

Le 23 juillet 2018, le médecin chef et la Directrice du centre Psychiatrique modifaient en faux et à l'insu de Sandrine, l'avis fait ce même jour au Préfet, et du coup, prolongeait l'internement avec consentement, jusqu'au 20 août 2018; et pour de bonnes raisons : cela évitait d'informer le Juge des libertés et de la détention, et empêchait donc tout contrôle de celui-ci.

Sandrine AHOUANTO a été privée de ses droits, dès l'entrée au centre psychiatrique. Une évidence, devant ces violations de droit dès le départ, le Juge aurait fait cesser cet internement immédiatement. Les médecins n'ont pas réussi à trouver de tiers pour son internement. Son fils comme ses parents, avaient refusé catégoriquement.

Le 18 juillet 2018, Sandrine voyait sa fille disparaître. Le 28 septembre 2018, Jean-François MONTAGNER, service gardien, venait annoncer à Sandrine que Yuna était au Centre de l'enfance à Chamalières (Clermont-Ferrand). Il rajoutait, que dans les semaines qui suivaient, elle serait déplacée à St Rémy sur Durolle (63), à plus de 70 km de chez elle. Elle était informée de son droit de visites médiatisées 2h/mois.

15 infractions punis d'une peine d'emprisonnement, dont une, au code de la santé publique, sont dénoncées dans cette plainte. La détention arbitraire de plus de 7 jours, est punie de la réclusion criminelle. Des violences policières ont commises sur Sandrine, et sur sa fille de quatre ans. Ces policiers menés par le bout du nez, ont tout simplement agi comme dans le cadre d'un flagrant délit.

Sont flagrantes, 8 violations à la Convention européenne des droits de l'honne (CEDH), dont la violation de l'article 3, de l'interdiction à la torture ou traitements inhumains ou dégradants, au droit au respect à la vie privée et familiale, selon l'article 8. Etc...

Tout était programmé, même à l'issue de cet internement; Sandrine se voyait convoquer devant le psychiatre, quelques jours après. Celui-ci n'a pas jugé bon de suivre les démarches de la juge des enfants; mais surtout, Sandrine avait tenu le coup face aux effets des médicaments. Cette infraction est punie de 5 ans d'emprisonnement, avec les circonstances aggravantes, selon les l'articles 222-15 et 222-13 du code pénal; "administration de subtances nuisibles ayant porté atteinte à l'intégrité ou psychique d'autrui".

Résistance à vous, soyez résilients, et surtout, ne vous laissez plus intimider. Montrez aux juges, aux avocats, aux huissiers maintenant Commissaires de Justice, ce que nous sommes; des êtres responsables..

Mesdames et Messieurs les Juges, nos échanges doivent avoir une notion d'entraide, et non de défiance. Vous ne faites que servir ainsi, ceux qui s'enrichissent sur le dos des citoyens devenus justiciables. La justice est faite pour nous surélever, et non pas pour entretenir la misère ou détruire les vies; rendez-nous nos enfants, et sanctionnez oui, les manipulateurs ou les menteurs, les faussaires et les pervers.

Nous en savons presque assez maintenant, pour que ces enfants reviennent chez leurs parents protecteurs, avec le droit. Mesdames et Messieurs les Juges, quoi de mieux qu'une justice impartiale. Chacun doit prendre ses responsabilités.. Nous sommes déterminés, face à cette corruption, face à l'absence totale d'empathie lors des procès, face à un système dénué totalement d'humanisme, face à un autoritarisme qui nous menace de nous emprisonner, nous, parents. Parfois face à vos exigences contre-productives, vous devez reconsidérer en urgence, le schéma que l'on vous a inculqué. C'est de votre responsabilité, comme à chacun, de redonner un sens à nos rôles ou fonctions..

   
    Mais ce résumé est trop bref. Il faut lire la plainte. 20 pages pour comprendre.    
   
Avocats, battez-vous pour la vérité ! vos batailles et vos victoires n'en seront que valorisées. Baissez vos tarifs ! ils ne sont pas qu'exorbitants, ils sont aberrants ! ils ne font qu'anéantir financièrement, les justiciables; je n'y vois que de l'abus de faiblesse. De surcroit, l'aide juridictionnelle ne vous intéresse pas. C'est alors, loin d'être une vocation.
   
       
       
         

 

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