La déclaration d'exception de nullité |
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L'évènement le plus marquant pour Sandrine, et c'est peu dire, c'est le 18 juillet 2018, jour de placement de sa fille Yuna, âgée de 4 ans, suivi de son internement sans consentement, à l'hôpital psychiatrique. Il y a beaucoup à dire sur les procédés de l'ASE et des forces de l'ordre, pour arracher à domicile, les enfants. Certains agents du "service gardien" se sont octroyés un pouvoir qu'ils n'ont pas légalement. Leurs rapports font foi, et sans contradictoire avec le parent, le juge des enfants fait appliquer, lui aussi, en violation de la loi. Les magistrats eux mêmes, n'appliquent aucunement le droit européen et international. La convention internationale de l'enfant, n'intéresse aucunement ces professionnels. Les parents victimes de ces dévoreurs d'enfants, n'ont de cesse, de dénoncer le manque de respect du droit, mais sans retour.. sans la moindre culpabilité, ceux qui ont volé les enfants des autres, continuent en toute impunité, de tromper leur monde. Il n'y a plus aucun respect à la dignité de chacun, et pas la moindre empathie par ceux, qui sont propablement eux-mêmes, des parents. Cette euphorie de vouloir "placer", s'octroyant l'autorité parentale, de montrer autorité face aux parents, s'explique par l'abus de faiblesse. En effet, ces agents de l'ASE, renforcés par le pouvoir du Juge des enfants, à travers leurs mensonges, vont même jusqu'à commettre l'exercice illégal de la médecine, afin de réduire à néant, ceux qui sont déjà anéantis, par ce qui se prépare dans leur vie familiale. Quand je regarde le parcours de Sandrine AHOUANTO, en ce juillet 2022, déjà 4 ans de placement, 19 mois de séparation totale, suspension des droits de visite et interdiction de correspondre par téléphone ou par courrier. Par jugement de janvier 2022, ces instructions du juge des enfants sont reconduites pour deux années encore. Cela sent la procédure de délaissement, et d'adoption; bien sûr, nous ne baissons pas les bras, tout est écrit, dans les différentes procédures. Une inscription de faux principal en écriture publique a été enregistrée, pour ce jugement; Mélanie JALICOT n'a pas répondu aux questions de l'huissier de justice. Voyez en lisant cette déclaration d'exception de nullité, envoyée à toutes les instances de France et européennes, démontrant que le droit n'existe plus aux yeux de ces fonctionnaires. Il est vraisemblable que seul l'appât du gain peut rendre aussi fou, en s'exposant ainsi à la colère des parents. Nous sommes des centaines de milliers à rejoindre la résilience, et les souffrances administrées par ces escros, n'auront fait que de rendre un peu plus lucide ou clairvoyant toutes les victimes de France.. Nous sommes donc, sur le bon chemin.. Franck B. |
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