CONCLUSIONS POUR LA CHAMBRE D'INSTRUCTION  

 

   

(Demande d'actes, demande d'examens médicaux sur Yuna).

"Sandrine AHOUANTO constatait à nouveau en 2020, que les blessures de sa fille, s'étaient amplifiées. Ses déclarations non entendues, par le directeur du centre de l'enfance, puis par les autorités, se sont retournées contre elle, comme "une dénonciation calomnieuse", et de surcroît, comme "une dénonciation mensongère" à une autorité judiciaire ou administrative entraînant des recherches inutiles"; la procédure elle-même, prouve qu'aucune recherche n'a été effectuée, avant d'incriminer Sandrine AHOUANTO de délits graves". En juillet 2021, j'allais décrire précisément et juridiquement, les violations des droits, les faux en écriture, dans une requête en nullité. Jamais, Sandrine AHOUANTO aurait dû être mise en examen. Des examens gynécologiques sur Yuna auraient dû permettre de stopper immédiatement, ces procédures interminables. Franck B.

   

 

       
       
       
       
       
       
    Page Précédente