Préambule

L'exercice de l'autorité publique qui est conféré au fonctionnaire d'Etat, de la Police Nationale, lui permet de faire respecter les lois; il constate les infractions mais il n'est pas juge du comportement des citoyens. Ses constatations sont présentées à la Justice, qui apprécie et décide de l'opportunité des poursuites.

Il est témoin des affaires les plus simples, comme les plus graves, dans tous milieux sociaux. Il est d'une évidence, que les fonctionnaires doivent être protégés par la hiérarchie et le Procureur de la République. Les magistrats doivent également être attentifs aux moindres problèmes, en relation avec les procédures judiciaires.

Si des dysfonctionnements apparaissent au cours de nos missions, pendant notre carrière, déontolongiques, judiciaires ou contraires à la loi, il est de notre devoir d'en référer aux autorités. Les conséquences peuvent devenir dramatiques, si cette protection administrative ou judiciaire, est absente.

Dès lors, que le fonctionnaire conteste, témoin de l'injustice, de l'incohérence, au regard de notre déontologie, de la loi et du respect des victimes, celui-ci peut devenir gênant, au sein même de notre institution. Ceci, peut entraîner une dégringolade d'évènements successifs et volontaires de la part de notre hiérarchie. Parfois ces attaques incessantes deviennent insurmontables. Seule la résilience peut nous venir en aide..

Je parle évidemment de harcèlement au travail, qui sur le long terme, de surcroît en réseau, devient un acte criminel. Certains services auront la particularité de vouloir protéger leur propre fonctionnement, dès lors qu'un fonctionnaire refuse de rentrer dans le cercle de fonctionnaires corrompus. Il est à noter que la percécution, déconstruit l'individu, et semble programmée afin de pousser la cible vers la mort. les conséquences du harcèlement

Il ne faut plus compter gagner en justice contre ses harcèleurs, mais simplement y résister. Recourir à la CEDH, avec son dossier pénal, peut faire espérer, mais rien est gagné. En créant ce site, c'était de vouloir crier à qui aurait voulu l'entendre, le désarroi de certains policiers; ceci, malgré leurs dénonciations. Ici, en France, j'ai constaté un système mafieux dont certaines localités ou voire même certains départements, étaient en proie. Certains policiers, comme Alexandre Langlois et Noam Anouar, et bien d'autres, ont eu le courage, de mettre en avant de la scène, des injustices de notre administration, qui ont des conséquences graves sur la population. Ils en paient les conséquences, évidemment; Le Policier Alain Devigne, s'est vu piégé dans une affaire de Go Fast, affaires criminelles à Grenoble qui auraient dû l'emmener en prison. La psychiatrisation a presque réussi à le faire taire. Je pense souvent aussi, à mes collègues, "morts pour la France"; mais si peu de monde s'en soucie, puisque nos dirigeants ou haut-fonctionnaires, ont l'art de manipuler les rangs de notre administration, mais aussi le peuple. Nos officiers ne font pas mieux, et rien ne me fera oublier la mort de Loïc Mommeja, à Tulle, le 25 Août 2007. Je peux maintenant, comprendre pourquoi il a disparu si violemment, victimes de pressions de la hiérarchie. Ce flic du 9-3, semble avoir été piégé, et pas soutenu, en Corrèze. Je n'oublie pas, non plus, qu'à l'extérieur de notre Ministère, les citoyens sont victimes également, de ces mêmes personnes; spoliés ou attaqués au sein de leur famille, les conséquences sont dramatiques, tant sur le plan financier, que sur leur vie privée; pourquoi s'étonner alors, que ces mêmes individus puissent arriver à faire exploser les familles, en plaçant les enfants; ainsi complices de l'aide sociale à l'enfance, et de certains magistrats. Il faut prendre conscience, qu'il est très difficile de nous rejoindre entre victimes ou lanceurs d'alerte, puisque les moyens donnés aux fonctionnaires, se sont améliorés en matière de surveillance. Je pense maintenant, à un Etat policier, dénués de tout humanisme, écartant, éliminant tout objecteur de conscience.

J'accuse les hauts fonctionnaires, de rester passifs devant ce fléau, alors que les alertes sont données en permanence, pour ces faits de harcèlement; le système politique en France, traîne les pieds face aux pratiques criminelles de nos supérieurs hiérarchiques, qui poussent à la mort, des Policiers. Pour certains Officiers, on peut parler de non-assistance à personne en danger, déjà gravissime, pour d'autres, une incitation au suicide (article 223-13 du CP). Le système politique fait un déni complet sur le harcèlement qui est organisé contre les personnes ciblées, et il en devient complice. "Après une vingtaine d'années d'observation, douze années de recherche et le recoupement avec de très nombreuses sources d'information inhérentes à tous ces processus et comportements associés, je peux avancer avec certitudes une implication conjointe d'entités gouvernementales comme les Renseignements Généraux et des réseaux de pouvoir", écrit en 2011, Josselyne Abadie, dans sa documentation "du harcèlement en réseau au harcèlement global". La découverte de ma surveillance, à Nice, en 2017, me la fait entendre. On peut parler des moyens déployés par la DGSI, afin de surveiller la population; mais il existe de nombreuses sociétés privés, gérées par d'anciens flics, pourtant condamnés dans leur carrière, et continuent de pratiquer des filatures ou surveillances comme dans l'ancien temps pour eux.

Aucune législation sur le harcèlement en réseau n'existe en France. C'est l'omerta sur le sujet, comme si l'on ne devait pas y croire, et c'est l'un des éléments qui caractérise le harcèlement : absence de reconnaissance de l'infraction, pour la victime; l' isolement se poursuit. Une arme redoutable qui vous enfonce dans les tréfonts de l'enfer; comme un poison, ces pressions insidueuses, vous mènent inéluctablement vers une solitude autodestructrice. Pendant ce temps là, les harceleurs préparent une psychiatrisation, justifiant une future dangerosité ou une prédisposition au suicide.

Une violence qui ne laisse aucun repos, aucun temps de pause, quand on s'attaque aussi à vos enfants. C'est un monde sans valeur, de lâches, dans des objectifs simplement d'atteintes perverses, et de satisfaction en groupe. Une reconnaissance mutuelle entre grands névrosés.

Cette arme est bien plus redoutable, que l'arme à feu qui attend le policier désespéré, puisque sa souffrance, si elle apparaît, se retourne contre lui, l'isole encore un peu plus, et lui arrache amis et les êtres les plus chers. Ceci, est valable bien sûr, pour tout individu ciblé dans la société.

 

Introduction

J'exposerai principalement mon récit, à partir de mon affectation en Ardèche, en 2009, puisque cette histoire est toujours active, encore maintenant(2024). J'allais découvrir les effets dévastateurs que pouvaient produire les réseaux d'influences dans notre institution. Encore plus surprenant, certaines localités en France, abritent des organisations à but lucratives, impliquant des fonctionnaires. Soit on accepte, soit l'on dérange. Je crois que j'étais devenu le grain de sable dans les rouages d'un fonctionnement, qui n'est pourtant pas tolérable dans notre Ministère.

J'ai déposé plainte contre mon chef de service et ceux qui l'ont suivi, pour harcèlement au travail et dénonciation calomnieuse, en décembre 2014; il s'en est suivi une enquête de l'IGPN qui a duré 7 mois. En 2013, ces gens de pouvoir, se sont attaqués aussi, à mon enfant, alors âgé de 8 ans, afin de m'atteindre, et m'enlever la garde. Là aussi, j'ai dénoncé en justice, ces pratiques, qui tendent à donner tort, à celui qui n'est pas conforme. Ils n'ont pas hésité à prendre en otage mon fils, année après année, dans presque toutes les écoles. Le système judiciaire a totalement occulté son harcèlement, pour mieux me ficeler, décrédibilisant mon comportement protecteur. La plainte déposée contre la directrice d'école, auteur de calomnie sur mon fils et moi-même, a été classée sans suite, avec "des conséquences qui ne sont pas graves"; le procureur n'avait pas nié l'existence de plusieurs infractions, que j'avais définies. Deux dossiers, plaintes avec constitution de partie civile, déposées en mai 2016, suivis d'un non-lieu pour chacun. Appels, Pourvoi en cassation, et même le dépôt d'un dossier à la CEDH, a été écarté par un juge. Aucune chance de se reconstruire, mais seul ce combat, justifie de se maintenir en vie..

J'ai suivi personnellement mes deux dossiers en instruction, car je n'ai pas pris d'avocat. J'ai découvert à ce moment là, qu'une partie civile avait des droits dont on ne parle surtout pas, surprenant même certains avocats ignorants. En tant que partie civile, vous accédez à tout le dossier, (article 114 du CPP) et vous pouvez participer à l'enquête que le Juge d'Instruction devrait mener; j'ai bien dit, devrait.

Les Magistrats auraient pu, oui, mener à terme, cette investigation. Il est évident, que faire condamner des Officiers ou une directrice d'école influencée et influençable, aurait fait cesser le harcèlement que nous devions subir encore des années. Il n'en ai rien. Aussi, l'avocat qui aurait dû m'assister, est autant responsable des conséquences, par son inertie mais aussi par son escroquerie..

Les Magistrats sous influences, n'ont pas été impartiaux, et surtout n'ont pas cherché, les éléments "utiles à la manifestation de la vérité". Ils ont écarté les moyens utiles à la manifestation de la vérité, en rejetant toutes mes demandes d'actes, les preuves les plus probantes, et en me cachant le dossier du Juge des Enfants, qui nous suit, moi et mon fils.

A travers ces enquêtes, j'ai observé le manque d'impartialité des juges, mais aussi celui des enquêteurs OPJ, sous commission rogatoire, ou enquêteur de l'IGPN de Lyon. J'ai démontré dans un tableau, le rôle de chaque personne auditionnée dans le service, éclairant ainsi, la manière dont l'enquête avait été menée. L'orientation des investigations, saute aux yeux : mêlant volontairement une affaire familiale, dès le départ, puis les déclarations des fonctionnaires qui participaient à ce harcèlement au travail, n'ont jamais fait l'objet d'un contradictoire; les gens neutres, n'ont pas été entendus. Le procureur de la République, puis les juges d'instruction, se sont appuyés sur les conclusions du Major de l'IGPN. Un Procureur Général qui a fait plus confiance à l'IGPN, mentionnait le sentiment de percécution.

Les réponses administratives ou judiciaires, démontrent aisément la complicité des instances, qui devraient faire cesser, immédiatement, ces agissements. L'IGPN, en orientant son enquête, donne du crédit aux auteurs, tout en sacrifiant le plaignant. Nous en sommes là; il est plus facile de discréditer une victime que le système en lui-même. Les Magistrats, les juges d'instructions, indépendants, ne le sont pas tant que cela.

Les plaintes progressent au ralenti. Pour exemple, la première plainte date du 26 décembre 2014; un non-lieu a été prononcé par le juge d'instruction,en janvier 2020. Elles sont freinées autant que possible, afin de permettre à mes adversaires de répliquer, avec des plaintes non justifiées, et des faux jugements. "L'encerclement".

Les dossiers qui suivent, sont tous en lien. Le harcèlement, la diffamation, les pressions, les menaces de toutes sortes, sont évidemment liés avec mon profil de policier intègre. Ces attaques sournoises ont débuté, probablement en 1994, puis régulièrement, 1997, 2000, 2002 etc, jusqu'à maintenant. A partir de 2012, et peut-être avant, suivant les dires d'une institutrice, on s'en prenait déjà, à mon fils, dans l'école; il avait alors 8 ans. Ce harcèlement scolaire, ne l'a plus quitté jusqu'en avril 2019; pris en otage, afin de m'atteindre au mieux, à travers des réseaux d'influences qui n'ont pas de limite. Les deux années passées avec lui, à Nice, allaient me permettre de mieux comprendre encore, ce dont sont capables les hommes, ou les fonctionnaires d'Etat..

Aussi, la mère de mon fils, complétement assujétie à ce système policier corrompu, a occulté le harcèlement scolaire, au point d'en nier l'évidence, devant les juges. Les hommes de notre Ministère, par habitude, arguent les problèmes familiaux, afin de se dédouaner de toutes conséquences. Les agressions ne sont pas reconnues, ni par l'administration, ni par la justice, et les auteurs continuent leurs méfaits..

Les propos de François DANGLEHANT, Avocat, m'avaient interpellé : " Pour s'assurer l'obéissance des gens de l'administration dans les provinces, le pouvoir central (1648 : La Fronde), leur a dit, vous êtes au dessus de la loi, vous pouvez faire des infractions pénales, je vous couvre et çà continue." çà continue..

La justice, n'est pas indépendante, même pas dans la théorie; de surcroit, les appartenances de certains Magistrats, n'aident pas le justiciable. Elles favorisent les adeptes, et enfoncent les personnes ciblées. Le secret de leur mouvance, ne l'est plus, quand ils écrivent avec partialité. Comme le dit si bien Serge Abad-Gallardo, "la franc-maçonnerie est une escroquerie intellectuelle". Les escroqueries au jugement, n'en finissent pas, des circonstances sont créées de toutes pièces, et les magistrats ne contredisent plus les mensonges. L'Avocat dissident Wilfried PARIS, victime aussi, dénonce :"Ce Magistrat voulait créer les circonstances d'une enquête de flagrance. En matière de poursuites pénales, "créer" n'est pas probant, c'est un travail de faussaire." Je découvrais déjà cela en 1994, dans le monde de la Police parisienne.

Alors face, aux mensonges, aux sophismes, aux enquêtes orientées, à l'absence d'égalité des armes et d'équité devant un tribunal, à l'absence de contradictoire et d'impartialité, aux contournements de la loi par certains magistrats, aux faux jugements, aux victimes encore victimes de cette corruption, et face, à ces individus qui n'ont pas hésité à s'en prendre, à mon fils, afin de me faire taire, je n'hésite plus, à vouloir contribuer à la manifestation de la vérité de cette manière là, nominativement et diffamante. C'est faire face aux hommes, sans loi, qui vous obligent à l'appliquer, pour mieux vous ficeler; c'est aussi, faire face à des hommes, qui vous obligent à enfreindre la loi, pour que justice se fasse; néanmoins, je compte sur l'exception de vérité.

Deux constats me frappent l'esprit au quotidien, depuis des années; celui de l'assujettissement de la mère de mon fils, au milieu Ardèchois, subordonnant son devoir de protection parentale, à la volonté malsaine et perverse de personnes d'autorité locale. En plus clair, celui de laisser en pâture, notre fils voué à la discrimination, au harcèlement et aux violences, décidés par des adultes de pouvoir, dans le déni complet, et dans l'absence totale de questionnement sur le sujet, avec son enfant. Josselyne Abadie dit "Le harcèlement en réseau est un harcèlement qui est pratiqué sur une personne- la cible- en manipulant de nombreuses autres personnes -les pions - qui deviennent les collaborateurs et les exécutants de ce harcèlement. Souvent ces pions sont ouvertement formés aux techniques de harcèlement et missionnés pour harceler la cible désignée. D'autres sont uniquement manipulés à leur insu par le biais de multiples pratiques comme par exemple la désinformation et l'utilisation de rumeurs". Il est évident, que ces attaques contre mon fils avait pour but de m'atteindre.

Le deuxième constat, est celui des moyens humains, qui ont été employés à Nice, afin de désorganiser ma vie familiale. Ces approches incessantes au quotidien, de menaces, d'accidents organisés, vous poussent dans vos retranchements. Cette surveillance, existait déjà en ardèche, qui s'est amplifiée de manière ostentatoire, dans la ville de Nice; tout ceci me conduisait irrémédialement, vers un parfait isolement. Josselyne Abadie: "L'isolement est principalement mis en oeuvre de 2 façons : 1) en éloignant physiquement de la cible ses amis, collègues, contacts divers et même les membres de sa famille. 2) en les manipulant afin qu'ils ne lui adressent pas la parole ou tiennent un langage ostentatoirement artificiel qui détruit la communication. Dans les cas les plus graves de harcèlement, l'isolement est obtenu par la destruction proprement dite des relations non seulement professionnelles mais aussi personnelles, qui est parfois irréversibles ".

J'en rajouterais une troisième : celle d'épuiser vos ressources financières, en suscitant chez vous, l'assistance des avocats par exemple, sans pour autant faire cesser le harcèlement; ceci après avoir créer des situations, souvent très pénibles. De toute façon, l'objectif de ces réseaux, est bien de tout vous enlever, et par tous moyens; et donc la vie..

En cette année 2023, quelques dons de plusieurs victimes m'ont permis de repousser l'échéance; celle de me voir perdre tout. A l'Intérieur, ils s'occupent de moi, soigneusement.. Après avoir presque anéanti la scolarité de mon fils par influences, après m'avoir privé de toute finance en créant un endettement insurmontable en bande organisée, l'un des officiers corrompus de l'Ardèche, a tenu à me remplacer pour faire mieux. Voilà la preuve, d'individus épris de pouvoir, aidés par les politiques, s'infiltrer dans les vies familiales, et sans juge, décider de la sentance. Je ne pense maintenant, qu'à ma légitime défense; et à celle de toutes les victimes de ce genre de personnage, à l'esprit sans consistance, vide de tout humanisme, avide d'argent, de pouvoir, et de corruption.

 

Ceci est ma vérité, certes, mais toujours avec cette volonté de me rapprocher de la réalité. Je vous promets de rester factuel, et demande pardon, à ceux qui pourraient m'amener la preuve du contraire, de ces associations présumées, d'évènements graves avec ma vie de policier, de citoyen et de père. "Ce que je voudrais accomplir est simplement de servir, avec mes faibles forces, la vérité et la justice, au risque de ne plaire à personne." Albert Eistein (1955). Il disait aussi : "Quiconque ne prend pas soin de la vérité dans les petites choses, ne peut inspirer confiance dans les affaires d'importances". Comment le peuple français, pourrait-il faire confiance en ses politiques, en ses gouvernants, s'il sent que tout lui est caché. Comment pourrait-il se soumettre, à l'autorité, s'il sait qu'à l'arrière de la scène, tout est supercherie. La justice couvrent les hommes de pouvoir, qui ont préféré oublier leur responsabilité. Justice ne peut-être faite, qu'à travers la transparence. Résister et risquer de perdre son travail n'est rien, comparé au fait de perdre le sens de la réalité. S'aventurer dans la jungle des mensonges, c'est perdre le goût de la civilisation et contribuer à la destruction de notre humanité. Que la vérité ne fasse plus peur, elle n'est pas en cause, des représailles.. Elle est lumière et salvatrice des maux que certains s'infligent..
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