"L'honneur est un élément du patrimoine moral lié à la notion de réputation. Chaque personne est en droit de faire respecter d'autrui son honneur." Edition Dalloz  

 

La défense de son honneur est considérée comme légitime dans le cadre de la légitime défense, qui est une cause objective d'irresponsabilité pénale. Selon l'article 122-5 du code pénal, une personne ne peut-être pénalement responsable si elle accomplit un acte, non disproportionné, commandé par la nécessité de la légitime défense d'elle-même ou d'autrui. La défense de l'honneur peut-être justifiée si elle est proportionnelle à l'atteinte subie.

 

Atteinte à la dignité et à l'honneur, une tragédie pour une vie entière.

 

Myriam BLANCHARD, épouse CHESSEBOEUF, est née le 16 décembre 1966, dans un contexte de déchirements familiaux permanents, trois ans après la naissance de son frère aîné. Un trouble de la personnalité, caractérisé par un narcissisme exacerbé, avec un besoin constant d'admiration et une absence d'empathie, allait entraîner cet amalgame entre aimer et agresser celui qui l'avait accompagné en tant que frère aîné, à partir de 9 ans, pour celui-ci. Ce qui a fait d'elle, dès l'adolescence, un être manipulateur, en m'écartant à plusieurs reprises de la famille, par des manoeuvres diffamatoires et manipulatoires; frère qu'elle pouvait admirer en même temps pour ses responsabilités assumées. Ce profile de pervers narcissique, est toxique par le contrôle de ses proches, ou sa destruction. Elle saura rebondir à chaque fois que son jeu machiavélique commencera à se dévoiler, en rattrappant son entourage par la victimisation, en désignant ainsi son bouc-émissaire. C'est aussi un modèle calqué sur le fonctionnement de toute une famille, adepte des secrets de famille, combinant narcissisme et manipulation, mais aussi de violences. Ainsi elle n'a cessé de salir la réputation de son frère, avec pour objectifs d'obtenir champ libre, et manoeuvrer comme elle l'entend à travers son existence, en quête de reconnaissance au sein de cette famille, mais aussi de le faire taire. Elle n'est jamais sortie de ce carcan familial, qui à partir de ses 15 ans, devait être conduite par une loge franc-maçonnique, Oncle et tante Ravard, qui a avait décidé de son éducation.

Elle n'a eu comme réflexe, en réponse à sa névrose, ses angoisses, non pas de suivre une thérapie comme il lui avait été conseillée, mais de rester dans ce mécanisme de projection. Elle s'est installée dans ce dialoque de sourds dans la mesure où elle ne fait, par cette projection, que prêter à l'autre les désirs, les sentiments, les craintes qui l'animent. Ce qui est le contraire à l'empathie, véritable communication interpersonnelle. On vérifie souvent chez elle, ce mécanisme à copier ou s'accaparer les rêves des autres.

J'étais conscient de cette manipulation constante dans ma vie d'adulte, provenant même d'autres membres de la famille, comme notre père, Gérard BLANCHARD. Elle s'est libérée ainsi de sa propre angoisse et de sa culpabilité, en projettant son agressivité sur l'homme qui lui était le plus accessible, déjà maltraité, sans le moindre risque. J'ai porté ce fardeau en tant qu'homme, imprégnié de l'éducation infligée dès l'enfance, en portant cette responsabilité de protecteur; mais il y a une fin à tout..

Cette projection constante, entraîne cette construction du réel comme de l'imaginaire, de sa propre image ou de ce qu'elle refuse encore d'y voir. Jacques POSTEL, psychiatre et historien, écrivait : " Cela est vrai non seulement du délire de persécution et du racisme mais aussi de la création artistique, comme l'exprime fort bien Borges : "Un homme fait le projet de dessiner le Monde. Les années passent : il peuple une surface d'images de provinces, de royaumes, de poissons, de maisons, d'instruments, d'astres, de cheveaux, de gens. Peu avant sa mort, il s'aperçoit que ce patient labyrinthe de formes n'est rien d'autre que son portrait"." On ne peut contester la dextérité ou les facultés de Myriam CHESSEBOEUF, mais bientôt, elle comprendra que ses copies, ses reproductions en peinture, ne sont rien d'autre que son portrait.

 

La situation dans laquelle je suis tombé, que je crois sous manipulation, plongé dans l'affect et en état de faiblesse, n'en est qu'une de plus depuis des années. Ils étaient informés, et cela leur interdisaient d'exercer ces manoeuvres rejoignant celles de mes agresseurs, et ainsi de me sentir piégé plus tard, en me prêtant de l'argent que je refusais en premier lieu. Evidemment son insistance, aurait dû m'interpeller et dire non. Elle me prêtait 10000 euros mais en m'offrant 1500 et m'envoyant un courrier en insistant pour ce prêt, me laissant rembourser même "dans 10 ans ou plus"(Pièce n° 1). Je ne faisais pas de commerce avec ma soeur et cette attitude me paraissait curieuse tout de même, mais j'acceptais pour payer une avocate vers laquelle elle m'envoyait via un avocat de son réseau M. BLANC de PARIS, qui par la suite m'escroquait. Nous étions en l'année 2014.

 

Nous vivions, mon fils et moi, un harcèlement intensif en Ardèche qui a suivi à Nice, dont la famille CHESSEBOEUF était absolument informée. Mes plaintes judiciaires sont affichées sur mon site. http://police-justcorrompue.net. Mon fils vivait un harcèlement scolaire en parallèle, mais en lien avec mon affaire; également salit dans cette famille. En 2013, il devait essuyer un coup monté de la directrice d'école, avec la complicité de sa mère, afin de m'atteindre, le déshonorant ainsi aux yeux de l'école et des parents. Il n'avait que 8 ans et demi. Nous décidions de retrouver la famille pour les vacances de Noël, à Québec. Le soir du réveillon, en promenade, je retrouvais mon fils, âgé de 11 ans en pleurs, subissant les foudres de sa tante, pour des chamailleries avec son fils plus âgé. Je ne disais rien sur le chemin du retour, afin de ne pas aggraver la situation; cependant, Michel CHESSEBOEUF, s'en prenait physiquement à moi, puis à mon fils, nous virant de chez eux. J'étais à plat avec nos valises, et tellement désoeuvré me voyant sans issue dans notre histoire, que seul, je me serais allongé sur le trottoir ce soir du réveillon. Notre retour ne changeait rien, une blessure était ouverte. Tout cela devant leurs enfants, que je n'aurais jamais traités de cette manière. Ces humiliations dont j'ai fait les frais encore une fois, ont été de pures représailles à répétitions de la part de Myriam qui manipulent les siens.

 

Etonnamment, le 2 septembre 2016, Michel CHESSEBOEUF, m'écrivait par mail, (Pièce n°2) de manière quelque peu cavalière, "TA DETTE "ou d'un ton culpabilisateur, me réclamant de rembourser ce que je leur devais; ceci deux années après leur prêt. Ce n'était pas ce qui avait été prévu et surtout l'état de mes finances ne le permettait pas. Mais malgré tout, J'ai commencé à rembourser, 500 euros pour chaque mois d'avril, mai et juin 2017. Puis 2000 euros en novembre 2017, malgré mon installation dans la Vienne, prenant la fuite de Nice. J'ai fait comme j'ai pu, mais subissant les pressions du couple CHESSEBOEUF, au milieu de persécutions institutionnelles, envers mon fils et moi-même. Le 11 mars 2018, Marion et Bruno, neveux de la mère de mon fils, à TOURS, me faisait la réflexion sur l'argent que je ne rendais pas. Le 20 octobre 2018, je passais en Corrèze chez l'oncle et la tante de mon fils; là aussi je recevais une réflexion sur cet argent. Comment cette rumeur a pu atteindre cette famille ? Le 14 septembre 2018, Myriam passait me voir. Elle enregistrait à mon insu, mon monologue qu'elle utilisait par la suite pour ses intérêts personnels; affaire grave dont j'étais témoin et suivie de représailles, dans laquelle était impliqué un cousin Jean-Marc RAVARD. Le 31 octobre 2018, Myriam me demandait fermement par mail (Pièce n°5) de lui rendre l'intégralité, à savoir 6500 euros. Cet acharnement était devenu un harcèlement continue, me faisant passer pour un profiteur ou même un voleur dans toutes les familles. Début septembre 2019, j'ai dû m'expliquer chez Gérard BLANCHARD, devant Micheline POITEVIN, puisque le couple CHESSEBOEUF était venu se plaindre et me diffamer chez eux. J'ai dû leur montrer le courrier que Myriam avait rédigé. Ce qu'ils ne les n'empêchaient pas, fin Août 2019, de dépenser 5000 euros dans un festin organisé chez eux et offert aux notables de Montmorillon. C'est donc une mise en scène qui rejoint les manoeuvres de mon administration et de la famille afin de me nuire. Gérard BLANCHARD me déshéritait évidemment illégalement, en procédant à une donnation dissimulée à son jeune fils, le 18 Août 2017. En 2022-2023, Ghislaine et philippe ANDRAULT et à l'arrière de la scène, Roger du même nom, me faisaient pression afin que je renonce à la succesion des Grands-parents, par écrit, téléphoniquement et derrière mon portail, et sous prétexte que j'allais payer les dettes de la fraterie ANDRAULT. Sans oublier, les scandales gratuits de Kelly, employée au Tribunal de Poitiers selon ses dires, dans la boulangerie et la superette de Verrières et devant témoins, alors que je ne disais rien. Habitué à ce genre d'harcèlement dans ma vie privée et professionnelle, je suis parfaitement conscient du but de ce genre de mise en scène. Derrière tout cela, on devine les arrangements avec Myriam CHESSEBOEUF, puisqu'elle ne s'est pas désistée de cette succession. Chacun devra s'expliquer un jour. Myriam, jouant le jeu de la famille, de mon administration ou de sa mouvance maçonnique, a subtilisé l'album photos de nos ancêtres, et surtout de m'interdire d'y accéder, nous isolant encore un peu mieux de nos racines, mon fils et moi. Une aberration au vu de l'exploitation dont j'ai été victime dans cette ferme, à partir de mes 13 ans et demi, avec ses conséquences au niveau santé.

Un Arrêté du SGAMI sud rédigé en faux et signé par une DRH le 25 mai 2020, me supprimait mes salaires rétroactivement pour abandon de poste, alors que j'avait quitté Nice, en exerçant mon droit de retrait suivi de plainte, subissant des menaces de mort et des accidents volontaires, puis encore une fois, on s'attaquait à l'exercice de ma profession. Mon fils subissait encore un harcèlement scolaire et des agressions, dans la Vienne. Le 29 mai 2020, Myriam m'envoyait à nouveau un mail.

En juillet 2022, je m'adressais à la commission de surendettement de la Vienne, pensant que l'on m'aiderait par effacement de certaines dettes abusives comme celle de mon administration qui réclamait ainsi 33000 euros, ou le JAF qui me créait une dette rétroactive. Ils ont réussi ainsi à m'endetter à hauteur de près de 200000 euros, inclus ce qu'exigeait la banque le Crédit Agricole, motivée pour me saisir la maison. J'ai inscrit cette somme de 6500 euros, afin de montrer l'importance de mon surendettement, et non pas de m'en dégager; la preuve de ma bonne foi, c'est que j'en ai parlé à cet organisme. Mais je n'ai pas demandé à ce que l'on me fasse l'aumône; je n'ai jamais espérer ne pas rembourser cette somme, à ces personnes qui ont bafoué mon honneur auprès de toutes les familles. Je recevais l'attestation de renonciation du remboursement en date du 22 Août 2022, un arrangement entre la banque de France et Myriam CHESSEBOEUF, et sans mon consentement. Cette fausse générosité est venue masquer les motivations de Myriam, celle de restée maître de la situation, de me culpabiliser et de renforcer sa victimisation aux yeux de son entourage. J'attends ce moment de remettre un chèque de 6500 euros, en main propre..

De 2018 à septembre 2024, le harcèlement a continué à mon domicile. Les gendarmes de Lussac Les Châteaux, en contact avec Gérard BLANCHARD et les frères ANDRAULT de l'Hommaizé, se sont servi d'une affaire familiale pour m'attaquer, mais aussi en s'en prenant à mon fils par dénonciation calomnieuse. Ce que j'ai fait reconnaître en justice.

Myriam CHESSEBOEUF et son mari, avaient décidé de suivre un escro de grande envergure. Le 12 Août 2022, ils se rendaient au château de la Maillolière à Blanzay (86), afin de rencontrer Alexandre Juving-Brunet, qui présentait aux quatre coins de la France, la création de sa monnaie "le Franc Libre", qu'il prévoyait de faire circuler à partir de septembre 2022. Des billets de banque remplaçant l'euro donc : "La mise en circulation de tout signe monétaire non autorisé ayant pour objet de remplacer les pièces de monnaie ou les billets de banque ayant cours légal en France est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende." Article 442-4 du code pénal. Myriam CHESSEBOEUF devenait complice, des agissements de Juvin-Brunet, déléguée et prenant la responsabilité de regrouper des adhérants, dans la Vienne. Le principe était de récolter des fonds (métaux précieux ou bijoux) en échange du franc libre, auprès des souscripteurs, au nom de l'association le "Comité du salut du peuple" qui prévoyait d'acheter du foncier productif. En trois mois, il récupérait 1 million 300 mille euros pour 4000 souscripteurs. Alexandre Juvin-Brunet est interpellé le 23 novembre 2022 et incarcéré le 25 novembre, pour escroquerie en bande organisée, et poursuivi pour avoir utilisé une partie de l'argent à des fins personnelles. Myriam Chesseboeuf n'est pas un simple souscripteur, mais elle est auteur du même délit, là encore par manipulation.

Pour finir, j'ai mené des investigations judiciaires, m'ayant amené à rédiger des procédures adressées aux juges d'intruction pour des affaires criminelles; cela deux fois que Myriam Chesseboeuf se permet de faire ses propres enquêtes par dessus mon travail, en contactant les auteurs, et ainsi me mettant en danger. Elle fréquente aveuglément un groupe que je connais, qui par sa politique de destruction des dossiers des victimes, collabore au chaos de notre pays. Probablement qu'il lui est insupportable que son frère aîné puisse réussir dans ce que d'autres ne pourraient s'engager. Je n'ai jamais été son concurrent, mais plutôt son protecteur par la force des choses. La concernant, elle n'est jamais arrivée à dissocier sa petite enfance avec sa vie d'adulte, et continue de générer ce mécanisme d'inversement à son manque d'estime de soi, en maintenant son image de soi idéalisée. Je blâme essentiellement son narcissisme à vouloir toujours faire mieux que les autres, sans en mesurer les conséquences sur leur vie. Me concernant, je ne mange pas à tous les rateliers; je reste dans la vérité et dans le droit autant que possible. L'illusion d'un véritable soutien familial, s'est envolée pour longtemps..

 

Pièces annexes
     
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Cette famille est impliquée dans une affaire criminelle, par cupidité; elle a profité de ma situation conflictuelle avec mon administration, et s'est organisée à titre d'imitation simiesque, afin de m'isoler par la rumeur et même par des dénonciations calomnieuses auprès des autorités judiciaires. Le discrédit est total, dans les administrations, la justice, et évidemment toute la famille, et tout cela par corruption ou prise de partie. Le mépris affiché dans le voisinage, ne m'épargne pas non plus. Ce petit monde tente de se protéger de mon intègrité personnelle et professionnelle. Les conséquences sont donc très graves, dans le but tout simplement, de me pousser au pire.. Concernant la recherche des auteurs de tout cela, voire des criminels, il suffit d'entendre cette adage, et peu importe la source de tous ces problèmes qui se sont enchaînés au cours de ma vie : "c'est celui auquel le crime a profité qui l'a commis". J'ai donc décidé de combattre pour la vérité, et pour les autres..

 

Cette mention est destinée à mes chers neveux et nièces, je pense à Eloïse, Ronan, Nohan et Camille, que je n'ai jamais oubliés. Ma porte sera toujours ouverte pour eux, victimes de cette rumeur également. Je comprends qu'il puisse être compliqué de retrouver un oncle dont l'image a été ternie par chacun. Je m'en défends fermement, et je continuerai à tenter de prouver jusqu'au bout, à qui voudra l'entendre, le contraire de ces allégations qui m'ont séparé de cette jeunesse. Ils sont victimes évidemment depuis longtemps de cette déformation tendancieuse de la réalité, parfois devant moi, et des manoeuvres déloyales destinées à me descréditer d'avance. Il faut qu'ils sachent, que je suis avant tout une victime, dès la naissance, et que l'esprit de ces personnes n'a jamais changé. Il faut qu'ils sachent, que ma servitude pour cette famille pendant toute mon enfance et de manière abusive, a été sans faille; le comportement de chacun prouve le manque de considération du gamin que j'étais, violé et exploité. Mon dévouement a eu pour récompense ou pour héritage, une véritable trahison intellectuelle avec des conséquences de souffrances physiques et psychologiques, d'autant plus que les manoeuvres ont été préméditées à chaque étape de ma vie. Ces vérités auquelles je tiens plus que tout, feront écho, à qui n'en déplaise. Je crois au lien du sang, mais la trahison en est d'autant plus forte. Franck

 

 

 

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