xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx AFFAIRE STE DOG-MAN, MAGASIN LECLERC xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

 

Connu déjà de ses collègues pour des violences policières graves, il récidive en tant qu'Agent de sécurité dans un supermarché..xxxxxxxxxxxxxxx

Il peut, car la partialité de ses anciens collègues du Commissariat de police de Poitiers, ne fait pas le moindre doute.

Un rappel à la loi sera l'aboutissement d'une enquête raccourcie et galvaudée, et ainsi favorable pour cet ancien policier habitué de ces procédures, trois années et demi plus tard, pour une indemnisation financière gagnée au Tribunal civil et sans ma présence.

Employé par la Société DOG-MAN, le Directeur du magasin LECLERC à Buxerolles (Février 2021), autorise cet ancien policier à porter et à utiliser dans le supermarché, une bombe aérosol de catégorie B. Ancien CRS, l'agent de sécurité se croyait encore sous les ordres face à une résistance passive.

(cliché du spécimen)

 

Sandrine et moi-même, rentrions dans le magasin Leclerc à Buxerolles à côté de Poitiers (86) et mon masque était sous le menton. Nous croisions une jeune femme, qui à notre vue, m'intimait l'ordre de mettre le masque, sans la moindre formule de politesse. Je lui répondais que je n'étais pas à la botte de la guestapo. J'ai remonté tout de même mon masque sous le nez, mais 5 minutes plus tard, dans un rayon, l'agent de sécurité est arrivé en trombe, nous ordonnant de sortir du magasin, tout en me poussant par l'épaule. Je me suis écarté en prenant une posture de défense. C'est alors qu'il a retiré sous sa veste, une bombe aérosol d'au moins 400 ou 500 ml, et nous a aspergés en continue, pendant de longues minutes. J'étais appuyé contre une étagère et n'en pouvant plus, je me suis redressé, et j'ai vu l'agent de sécurité glisser et tomber sur le sol. Il s'est remis debout et a pris la fuite. Je l'ai suivi dans l'allée centrale, lui criant ce qu'il venait de faire. Menaçant de sa bombe aérosol, je lui ai fait un balayage au niveau du tibia. Encore tenu par la force par cinq employés à la sortie du magasin, l'agent de sécurité en profitait pour m'asséner un coup de poing au niveau du nez. Chacun a déposé plainte au commissariat de police de Poitiers. Colin Deveaux retrouvait ainsi ses anciens collègues. L'Officier du Ministère Public lui donnait raison un peu plus tard, en m'adressant un rappel à la loi.

3 années plus tard, en février 2024, cet ancien fonctionnaire de police, m'assignait au Tribunal civil, afin d'être indemnisé sur des propos totalement faux, et des faits dont je n'en suis aucunement la cause. En septembre 2024, je n'ai répondu ni à l'huissier, ni au tribunal qui ne lui a pas donné tort.

 

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Si l'Officier du Ministère public, et la direction du magasin Leclerc ont donné raison à Colin Deveaux,de porter et d'utiliser une bombe aérosol de catégorie B, dans un supermarché au milieu de la clientèle, et d'agresser gratuitement deux personnes, sans la moindre légitime défense, alors je défends à quiconque de toucher à ma faible finance.. Colin Deveaux et son avocat ont commis l'escroquerie au jugement en bande organisée.
 
     

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