Journal Officiel
P.E.A.F.
15 octobre 2024
Placement Enfant = Adoption Forcée

 

N'attendez plus, défendez vous comme des lions face à l'A.S.E !

 

JOURNAL OFFICIEL Annonce n°2458 Click !
RECEPISSE DE DECLARATION
RNA n° W862005925
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Procès-Verbal de l'assemblée générale extraordinaire
09 avril 2025
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STATUTS DE L'ASSOCIATION "ADOPTION FORCEE" (PEAF)
08 avril 2025
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Procès-Verbal d'ouverture de compte bancaire avec désignation de la personne gestionnaire
22 octobre 2024
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REGLEMENT INTERIEUR
08 avril 2025
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Les enfants maltraités, en particulier dans les institutions publiques ou religieuses, doivent bénéficier d'une reconnaissance officielle et de mesures de réparation, a plaidé vendredi 26 janvier 2024 le Conseil de l'Europe. Dans une résolution, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, (APCE) considère que les 46 Etats membres de l'institution doivent faire toute la lumière sur les actes de maltraitance envers les enfants, qu'il s'agisse de violences physiques, psychologiques, sexuelles ou encore d'adoptions forcées.

Elle préconise que chaque pays dresse un état des lieux des violences, reconnaisse les souffrances subies, présente des excuses officielles et indemnise les victimes.. (Le Monde avec AFP)

 
 

Que selon l'article 8 de la CEDH, "Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance". "Qu'il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale etc..."

La Convention internationale ds droits de l'enfant est entrée en application en France le 6 septembre 1990. Article 9, "Les Etats parties veillent à ce que l'enfant ne soit pas séparé de ses parents contre leur gré, à moins que les autorités compétentes ne décident, sous réserve de révision judiciaire et conformément aux lois et procédures applicables, que cette séparation est nécessaire dans l'intérêt supérieur de l'enfant".

"Dans les cas prévus, toutes les parties intéressées doivent avoir la possibilité de participer aux délibérations et de faire connaître leurs vues"

Article 16 : "Nul enfant ne fera l'objet d'immixtions arbitraires ou illégales dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa corespondance, ni d'atteintes illégales à son honneur et à sa réputation."

"Les Etats parties prennent toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher l'enlèvement, la vente ou la traite d'enfants à quelque fin que ce soit et sous quelque forme que ce soit." article 35

 
   
 

Qu'au regard de la Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (Rome, du 4 novembre 1950), est convenu entre les signataires, le droit à un procès équitable, selon l'article 6. "Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial".

En son 3ème paragraphe, tout accusé a droit notamment à :

a) être informé, dans le plus court délai dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui.

b) disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense.

c) se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, (...).

La loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d'association, dit en son article 6 : "Toute association régulièrement déclarée peut, sans aucune autorisation spéciale, ester en justice, recevoir des dons manuels ainsi que des dons d'établissements d'utilité publique (...). "

Pour les associations, le législateur a assoupli cette dernière règle : elles peuvent agir en justice pour défendre des intérêts collectifs de victimes ou leur cause, sans avoir à justifier d'un préjudice direct et personnel. Elles peuvent également, sous certaines conditions, intenter une action de groupe.

Le 2 octobre 2013, s'appuyant sur la jurisprudence de 2004 complétée en 2008, la chambre civile 1 de la Cour de Cassation (n°12-21.152, Inedit) admettait dans les motifs de son arrêt, au 1°) : "Alors Que même hors habilitation législative, et en l'absence de prévision statutaire expresse quant à l'emprunt des voies judiciaires, une association peut agir en justice au nom d'intérêts collectifs, dès lors que ceux-ci entrent dans son objet social."

L'association défend ses intérêts personnels, mais aussi peut défendre les intérêts communs ou collectifs de ses membres :

- devant les tribunaux civils, cette action sera recevable si elle est compatible avec l'objet social, et ce même si les statuts ne la prévoient pas.

- devant les tribunaux répressifs, l'association peut se constituer partie civile pour défendre des intérêts collectifs de portée générale mais seulement si elle a été habilitée par la loi;

Selon l'article 416 du code de procédure civile, "Quiconque entend représenter ou assister une partie, doit justifier qu'il en a reçu le mandat ou la mission.----" L'association personne morale doit être représentée par une personne physique devant le Tribunal, qui est en principe la personne déclarée en Préfecture.

 
   
 

Ainsi ! La création de l'association "Adoption Forcée", son sigle étant le "PEAF", a pour intention évidemment de protéger les parents victimes du système actuel, et de pouvoir retrouver leurs enfants déjà placés, mais aussi, empêcher le placement. Président de l'association, lanceur d'alerte et fonctionnaire de Police, l'objectif est d'agir en Justice et démontrer aux juges des enfants, l'incohérence ou l'abus des placements des enfants. Au sens pénal, il s'agit d'enlèvements de mineurs en bande organisée. Le constat incontestable de l'inaction des avocats en audience, renforce l'exécutoire provisoire de droit pour l'ASE, souvent à l'insu des parents; en cas d'abus, les enfants ne sont pas protégés. L'association a pour objectif d'invoquer ou de faire invoquer la suspension de l'exécution provisoire en audience, en vertu de l'article 514-1 du code de procédure civile.

 

 

 

Titulaire du compte réservé à l'association "Adoption Forcée" Amanda GOMEZ. (Trésorière-secrétaire du PEAF) Délibéré pour ouverture de compte et désignation du gestionnaire, en assemblée générale suivi d'un Procès-verbal transmis à la Préfecture. IBAN: FR76 2823 3000 0108 8430 0057 907 Code BIC / SWIFT: REVOFRP2
Nom et adresse de la banque: Revolut Bank UAB
10 avenue Kléber, 75116, Paris, France

(Les adhésions se feront sur adoptionforcee@yahoo.com ou gmail.com)

 
 
Procès-Verbal d'ouverture de compte bancaire avec désignation de la personne gestionnaire. Voir le procès-verbal remis en sous-préfecture (Click !)
 

 

 

   
 
L'association est composée d'une Trésorière secrétaire et moi-même en tant que Président. Il ne manque que vous, adhérant à cette noble cause, celle de retrouver justice et les enfants. Cette révolte par le juridique, est la seule voie pour vivre à nouveau avec nos droits fondamentaux, que l'on nous soustrait. Mais elle est aussi la voix de l'union, en évitant toute dispersion et toute discorde ou rivalitée, afin d'atteindre notre but. Je vous dis à bientôt dans ce rassemblement. Franck
 
  Vidéos Tik Tok : @knarfyalerteur --Mes actions juridiques : http://police-justcorrompue.net/sommaire.htm ----Journal Officiel : http://police-justcorrompue.net/jopeaf.htm ----Présentation : http://police-justcorrompue.net/adoptionforcee.htm  

 

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Lisez l'objet de l'article 2 des statuts avec ses objectifs et directives de l'association "Adoption Forcée"
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Depuis 2021, mon constat est sans ambiguïté. Les décisions des Juges, sur avis de l'ASE bien sûr, sont de plus en plus catégoriques. Le moindre désaccord avec le parent, les sanctions sont nettes. La rupture des liens parentaux est imposée pour la moindre insoumission aux exigences de l'ASE. Ex : Refuser que son enfant soit sujet à des traitements médicamenteux, refuser les intrusions dans les domiciles, ou ne pas aller aux convocations des agents sociaux, etc.. Les personnes ci-dessous dénomées, sont des exemples parmi tant d'autres. Les Conseils Départementaux poussent ainsi à l'adoption forcée. N'hésitez pas à m'écrire pour remplir cette liste.
NOM LOCALISATION COUPURE DES LIENS PARENTAUX   Nbre d'enfants concernés
AMANDA GOMEZ
TJ BORDEAUX
DEPUIS LE 2 AVRIL 2025
 
1
MARIE-NOELLE DUBIEF
TJ BESANCON
DEPUIS JUILLET 2024
 
1
CATHERINE MAGERE
TJ LA ROCHELLE
DEPUIS OCTOBRE 2024
 
1
JEAN-MICHEL BERBIGUIER
TJ GRASSE
DEPUIS SEPTEMBRE 2023
 
1
SAMI HERZI
TJ VALENCE
DEPUIS JUIN 2020
 
1
NADEGE RYMER
TTJ BRIVE LA GAILLARDE
DEPUIS 2020
 
2
LINDA BENDIFALLAH
TJ MONTPELLIER
DEPUIS JUILLET 2022
 
1
LAETITIA LEJARRE
TJ FORT DE FRANCE
DEPUIS 25 DECEMBRE 2024
 
1
       
Les cas de ruptures des liens parentaux ont aussi une autre raison que celles précitées. La rupture presque totale de l'adoption internationale est probablement un bon motif pour les Conseils départementaux, de pousser à l'adoption forcée en France. On peut dire ici que le système est en rupture de stock. La marchandisation des enfants continue en interne, placements, expérimentations sur les enfants, le prétexte pour les institutions de vouloir mieux éduquer, est un leurre. L'aide sociale à l'enfance est gérée par le code général de la fonction publique (CGFP), mais aussi par le code de la Commande Publique. Comprendre un peu mieux, c'est aussi se pencher sur un historique qui n'est pas glorieux. Lisez ce court résumé du documentaire "Adoption internationale, un scandale planétaire" sur Public Sénat, publié le 1er juin 2025, et mes commentaires. Synthesedoc.htm (Click !)

 

L'association des parents pour libérer nos enfants (sigle : PEAF)